Maraîcher bio depuis 20 ans, Dominique Marchal précise que tout est récolté à la main : « Rien n’est mécanisé, nous utilisons des gouges, une sorte de fer forgé, qui va chercher l’asperge dans sa butte de terre. »
Les asperges sont ensuite triées par taille et par couleur pour être commercialisées. Dominique Marchal vend principalement en direct au consommateur : « Nous avons moins de soleil que dans le sud, donc je produis moins. Mon intérêt est de valoriser mon produit, sur les marchés. »